Quelqu'un m'a dit. Francesca, n'oublie pas ton coeur. Oui, mon coeur. Moi, j'ai respiré. J'ai pensé: il est parti ou' mon coeur? est-ce j'ai encore un coeur qui bat, qui est capable d'aimer? J'aurais voulu ajouter ça. Mais je suis restée en silence. Ce putain de silence qui me tue, ou qui essaie de le faire mais n'y arrive pas. Et non, je suis comme l'acier. On ne me coupe pas, on ne me plie pas. Il faut que j'y crois à ça!
Bonne chance!
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